Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
VITDITS ET AGLAMIETTES
VITDITS ET AGLAMIETTES
Publicité
Archives
Derniers commentaires
VITDITS ET AGLAMIETTES
Newsletter
0 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 355 373
Vous y êtes !

Vous venez d'atterrir sur le blog d'AGLAMIETTES où sévissent Aglaé, Thomas et Dan.

Chez nous, vous trouverez des textes courts, des aphorismes pas toujours très sérieux, des réparties dites VD, ou « Vitdit » pas vraiment classiques, mais, autant que possible humoristiques.

Laissez-nous un commentaire si vous avez le temps et l'envie.

Les commentaires sont accessibles sous chaque post de nos auteurs.

Une réponse vous sera adressée (sauf caprices de l'informatique toujours possible) !

vitdits-ecran

Participez sous la rubrique : « Le Plumard » réservée à nos amis et invités.

A bientôt !

18 juillet 2014

Lavivlliers...excellent dans cette chanson...les paroles un peu plus tard!

Publicité
Publicité
Commentaires
J
Le problème c'est qu'on s'aperçoit qu' a priori il n'a fait que "surjouer" ! et en se jouant un tantinet de son auditoire béat et de Dan particulièrement quand, le casque hi-fi sur les oreilles qui lui distillait "on the road again,again", il se soulait sans mesure chez Ricci dans des recoins péri-mammaires appâtés à l'air du temps.
Répondre
J
et oui... c'est là que je sens que je suis un peu moins jeune que toi ! pas la peine de me le rappeler.<br /> <br /> <br /> <br /> C'est sans doute à cause de ça que Nanard malgré un certain talent n'a jamais pu, ni su, être pour nous z'aut' vieux combattants de la chanson française, qu'un succédané de Ferré, une resucée du talent de Léo.<br /> <br /> <br /> <br /> Rien à faire... la voix sombre, la salsa, le créole dans l'oreille et le havane au bec, les mots bien tombés (du ciel ! diront les médisants)... tout cela bien saisi, il manquait quand même quelque chose pour forcer l'admiration inconditionnelle.<br /> <br /> <br /> <br /> "Nina Ricci" dans le décolleté ???? alors "Air du temps" je présume... décidément elles ne sont pas originales à nous mener tous par le bout du nez avec les mêmes arguments.
Répondre
J
Bah oui... y a quand même de quoi être déçu quand on a l'impression de s'être fait "escroquer" (ou imposer) les sentiments qu'on avait éprouvés et manifestés pour quelque chose, ou quelqu'un.<br /> <br /> <br /> <br /> Le Nanard a quand même fait fort pour se bâtir un personnage en son domaine et le bouquin d'un de ses "admirateurs" déçus, Michel Kemper ("les vies liées de Lavilliers" 2011) a revisité sérieusement les légendes que le chanteur à biceps tatoués avait construites... dixit Kemper : jeunesse baroudeuse en Amérique du sud, expérience de boxeur, stage en maison de redressement ou en prison, etc. tout cela serait fiction... inventée, imaginée, racontée pour formater le personnage à anneau dans le pif et débardeur débarquant du Mato-Grosso.... ça et les "emprunts" littéraires à pleines pelles, ça fait beaucoup !<br /> <br /> <br /> <br /> Lavilliers avait promis procès à son ex-pote délateur... mais depuis 2ans silence sur cette ligne. Peut-être pour éviter le boucan que font les statues déboulonnées qui se cassent la gueule.
Répondre
J
Je ne sais pas pourquoi quand ici je tape un 8 ça fait un :-). mais ça reste parlant !
Répondre
J
Si on fouille, on trouve... le Net est impitoyable !<br /> <br /> <br /> <br /> Connaissez-vous ces mots de René Laporte qui les commettait dans un beau poème « Difficile de juger » (1968) :<br /> <br /> <br /> <br /> « Attendu que le monde est fabricant de boue<br /> <br /> Que les genoux de l’homme sont noirs dès qu’il tombe<br /> <br /> Ou qu’il regarde Dieu toujours propre et debout<br /> <br /> Et que Dieu l’a voulue cette boue sur le monde<br /> <br /> Que même le soleil est fier d’avoir des taches. »<br /> <br /> <br /> <br /> Bah, on ne peut pas tout connaître… du moment qu’on apprécie les mots de Bernard Lavilliers dans sa chanson «Attendu » :<br /> <br /> <br /> <br /> « Attendu que le monde est fabricant de boue<br /> <br /> Que les genoux de l’homme sont noirs dès qu’il tombe<br /> <br /> Ou qu’il regarde Dieu toujours propre et debout<br /> <br /> Et que Dieu l’a voulue cette boue sur le monde<br /> <br /> Que même le soleil est fier d’avoir des taches. »<br /> <br /> (même album où l’on retrouve aussi « l’emprunt » à Claude Roy)<br /> <br /> <br /> <br /> C’est vrai que ça se ressemble juste un petit peu mais pas de quoi faire un pataquès répondit Bernard qui justifia ainsi cette coïncidence (Le soir du 31/01/2008) :<br /> <br /> <br /> <br /> « (…) « Mon explication est que je fréquentais, il y a très longtemps, un type, Jacques Doyen, qui lisait des poèmes de Henry Miller, de Cendrars, de Claude Roy, de Desnos, d’Aragon, etc. J’allais souvent le voir, j’adorais ce mec. Donc, aujourd’hui, c’est typiquement de la réminiscence inconsciente. C’est vieux, c’est ressorti carrément. La poésie est ma nourriture. (…) »<br /> <br /> <br /> <br /> Où on apprend donc que Lavilliers Bernard ne digère pas bien et renvoie « sic » ce qu’il a ingurgité sans le savoir… Ce que c’est quand même que le métabolisme neuronal inconscient…plus fort que la mémoire photographique… à mon avis il doit avaler de l’air en même temps, faut dire que l’amateur de Salsa n’en manque pas.
Répondre
Publicité