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VITDITS ET AGLAMIETTES
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Vous venez d'atterrir sur le blog d'AGLAMIETTES où sévissent Aglaé, Thomas et Dan.

Chez nous, vous trouverez des textes courts, des aphorismes pas toujours très sérieux, des réparties dites VD, ou « Vitdit » pas vraiment classiques, mais, autant que possible humoristiques.

Laissez-nous un commentaire si vous avez le temps et l'envie.

Les commentaires sont accessibles sous chaque post de nos auteurs.

Une réponse vous sera adressée (sauf caprices de l'informatique toujours possible) !

vitdits-ecran

Participez sous la rubrique : « Le Plumard » réservée à nos amis et invités.

A bientôt !

10 octobre 2010

Bobby Holcomb, peintre polynésien, qui nous regarde...de là-haut...

Bobby_holcomb_peinture

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Commentaires
L
... Alain, belle trouvaille qui résume bien...<br /> Mururoa angoisse !
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A
...avant la lettre,<br /> ce peintre et chanteur...<br /> ...un type très intéressant !<br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=o4N73QgKzo0&feature=related
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A
...et je les regrette comme si je les avais connus...Bien sûr on est dans la vie...pas au spectacle...merci,vieux Lô, car je ne serais jamais tombée sur ce peintre et sur ces gens sans toi. L'intégration du lloutub' est désactivée mais avec ton lien( c'est bien dit'lien')...on se démerde très bien!
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L
... un chouia pourave... Mais on sent la vie non ? <br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=jbApug3DwD4
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A
Bobby Holcomb - Cet artiste d’origine hawaïenne, mort à Huahiné en 1991 à l’âge de 44 ans, a insufflé aux Polynésiens pendant toutes les années 80 un souffle de renouveau culturel grâce à ses chansons, sa peinture et son discours. Sa mère, mi-hawaïenne, mi-portugaise, lui donne l’envie, dès son plus jeune âge, de connaître les racines Ma’ohi qui lui tiennent tant à cœur. Son père, Noir américain, lui apporte l’esprit de révolte et le swing du jazz. Né à Honolulu, le jeune métis grandit au cœur de la communauté noire de Los Angeles. Il en connaîtra les joies et les excès. Etudes secondaires, peinture et musique. Ses racines diverses se superposent et influencent profondément son expression artistique.<br /> <br /> Il arrive à Papeete à la fin des années 70 avec son ukulele (banjo tahitien) pour seul bagage. Pendant 15 ans, il irradiera la scène locale de son talent et de ses pulsions. Enchaînant les tubes, bouleversant l’esprit politiquement correct des cimaises locales, stigmatisant les esprits lors de toutes ses interventions publiques, il saura initier la jeunesse polynésienne à la différence maîtrisée et au métissage serein. Intérieurement plus Ma’ohi que la majeure partie des Polynésiens, il nous a laissé un héritage artistique fait de très nombreux tableaux et de musiques. Bobby a définitivement décroché sa place au panthéon de la Polynésie moderne.
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