L’idée de la collection EMEUTE est d’Aglaé :<br /> <br /> <br /> <br /> Elle m’a proposé son manuscrit « Suzanne » que j’ai mis en pages, imprimé, relié. Son roman a permis de créer « EMEUTE » en me commandant 20 exemplaires au départ qui m’ont permis de réaliser le recueil suivant.<br /> <br /> <br /> <br /> Découvrir de nouveaux auteurs inconnus, qui ne sont pas édités donc, pour le plaisir de les lire.<br /> <br /> <br /> <br /> De mon côté je reçois les manuscrits et je choisis ceux qui me semblent intéressants.<br /> <br /> <br /> <br /> Poésie, nouvelles, romans…<br /> <br /> <br /> <br /> Les auteurs ne touchent rien, moi non plus puisque l’argent récolté sert à acheter les fournitures indispensables pour le recueil suivant.<br /> <br /> <br /> <br /> La couverture est réalisée par une infographiste de métier, Sylvie Huret, gratuitement.<br /> <br /> Les illustrations pleine page au format A4 sont des photos ou des peintures de l’auteur.<br /> <br /> <br /> <br /> Bref, c’est une petite aventure sympa, sans prétention aucune, qui nous a permis de lire d’excellents mots qui seraient restés au fond d’un tiroir.<br /> <br /> <br /> <br /> Voilà, en gros, mais Aglaé peut t’en dire plus si quelque chose fait vaciller ta lanterne.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Dan

Ambitions ? je ne sais pas ce que c'est. :-)) En ce qui me concerne, publier ne m'interesse pas. Seul le plaisir de l'écriture donné aux autres me motive. <br /> <br /> Pour "EMEUTE" j'avoue ne pas avoir bien saisi le concept. Lanterne ! es-tu là ?

Une autre version, tout aussi bouleversante : https://www.youtube.com/watch?v=XOPR7xNFeR4<br /> <br /> J'ai fait plancher l'atelier dessus. J'espère qu'elles vont publier. Il y a de très beaux textes.

La musique, juste la musique et ce qu’elle évoque ; j’ai commencé à écrire dessus parce que je suis très lent :<br /> <br /> « Elle pleure la pierre. Tu les voies ces gouttes rouges, et ces insignes noirs gravés dans la chair, ces fours... Ces fours, les longues files affamées, et ces regards gênés par la neige tourbillonnante qui glissent vers le sol, fuyant une image aux soubresauts épileptiques, imprécise – comme si on avait forcé les traits d’un dessin flou, gris et fondu, jusqu’à lui donner le tranchant d’une eau forte où le blanc crie contre le noir.<br /> <br /> Et les wagons, comme un prélude... »<br /> <br /> <br /> <br /> Pas gai (c’est pour ça que je rame :-).<br /> <br /> Luluberlu

Merci. Bouleversant. Beau thème pour le prochain atelier d’écriture de Bergerac... Elles vont râler un peu, mais adorer aussi. De toute façon, elles râlent toujours, mais elles reviennent.