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VITDITS ET AGLAMIETTES
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Vous venez d'atterrir sur le blog d'AGLAMIETTES où sévissent Aglaé, Thomas et Dan.

Chez nous, vous trouverez des textes courts, des aphorismes pas toujours très sérieux, des réparties dites VD, ou « Vitdit » pas vraiment classiques, mais, autant que possible humoristiques.

Laissez-nous un commentaire si vous avez le temps et l'envie.

Les commentaires sont accessibles sous chaque post de nos auteurs.

Une réponse vous sera adressée (sauf caprices de l'informatique toujours possible) !

vitdits-ecran

Participez sous la rubrique : « Le Plumard » réservée à nos amis et invités.

A bientôt !

6 octobre 2012

Le regretté Platon...no comment...

platon

Un bon tour de tête

 

<< Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien et de personne, alors, c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie. >>
| Source : La Républiqu

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Commentaires
A
Le Platonicus texticulus a été envoyé hier par Guillaume à son Père.
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J
Je n’ai jamais été de ceux que l’on élève !<br /> <br /> A la noire odeur d’encre, à celle de la craie<br /> <br /> Crissant sur un tableau – Ah ! ce bruit qu’elle fait ! – ,<br /> <br /> Rien qu’à ces souvenirs mon cœur saigne et se lève ;<br /> <br /> <br /> <br /> Mon cœur ! T’en souvient-il de la sinistre école<br /> <br /> Si grise, jusque dans la toile des sarraus,<br /> <br /> Plus triste quand la pluie grillageait les préaux<br /> <br /> Et martelait la cour de bubons de vérole ;<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne fus jamais de ceux à qui l’on enseigne <br /> <br /> Avec leurs bras croisés et dans l’alignement !<br /> <br /> A ces souvenirs là mon pauvre cœur d’enfant<br /> <br /> Comme tu bats plus fort, te soulèves, tu saignes ;<br /> <br /> <br /> <br /> Tu te souviens de mes mains jointes sur la tête<br /> <br /> Face au mur de la honte et du zéro pointé,<br /> <br /> De ces jours à mourir longs comme éternité,<br /> <br /> Du minable barbu qu’il faut appeler « Maître »,<br /> <br /> <br /> <br /> De tout ce temps perdu, de mes printemps en cage<br /> <br /> Pour apprendre à siffler tout ce qu’il faut savoir…<br /> <br /> Quand je ne voulais rien que suivre du regard<br /> <br /> Par quelques échappées la course des nuages.
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