Et la fin est sans surprise : il fallait que le fils crève chez son père.<br /> J’ai vu ce film pour la seconde fois : Autant les acteurs sont fabuleux que l’histoire est simpliste. C’est dire le talent de Dupontel !<br /> Et Reggiani qui chante avec son dentier, sans picoler…

Rien que de l'authentique, une bonne gerbe à la gueule de tas de cons !<br /> Pas besoin d'être au bord de la mort pour dire ce que l'on pense, mais le prétexte est voulu afin de ne point trop heurter les pauvres types, les sales types qui puent le conformisme.<br /> Et bordel que l’odeur est tenace !<br /> Ce film est poignant de vérité, mais je répète que le fait de SAVOIR que l’on va crever dans quelques jours ne constitue pas un tremplin pour exprimer la vérité.<br /> Pas besoin de radios alarmantes, de cancérologue/amie (forcément) au bord des larmes pour vous rendre libres, paradoxalement, d’être lucides de la connasserie ambiante !<br /> « Les cadeaux ! Les cadeaux ! » : Sacré moment…<br /> Le psy, l’avocat et son allumeuse, la conne puissance n ; qui ne s’est jamais emmerdé à une telle table ?<br /> Jamais je n’attendrai un diagnostic de médecin qui me « prescrira » la date de ma mort pour dire ce que je pense des « assis », des con-fortables.<br /> <br /> Dan

...mais je sais de quoi c'est qu'ça cause et je regrette...pour Dupontel aussi, bien entendu!

...le lien m'envoie sur une page introuvable, donc...que vais-je bouffer à midi?

... penses qu'à graillave et à écluser Ange !... Cela dit, t'as raison !<br /> <br /> Le film, je l'ai vu cette semaine... Dupontel... Excellent, comme d'hab... Et en générique de fin, ces mots... ouh... The choc !