
J'ai accroché, sur la portée du vent, quelques notes irréelles, quelques images farfelues, des mots qui disent qu'il faut rêver, même quand on a peur, même s'il est trop tard, ou trop tôt, ou qu'il fait trop triste, trop froid dans le cœur ; j'y ai ajouté quelques sourires d'enfants, un rire qui cingle comme un départ, bref, de ces riens qui font qu'on continue... quand même ! J'ai vu les Pyramides s'ouvrir et m'offrir les soleils prisonniers depuis des lumières, Veillant sur des Pharaons inutiles et de...
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