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VITDITS ET AGLAMIETTES
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Vous y êtes !

Vous venez d'atterrir sur le blog d'AGLAMIETTES où sévissent Aglaé, Thomas et Dan.

Chez nous, vous trouverez des textes courts, des aphorismes pas toujours très sérieux, des réparties dites VD, ou « Vitdit » pas vraiment classiques, mais, autant que possible humoristiques.

Laissez-nous un commentaire si vous avez le temps et l'envie.

Les commentaires sont accessibles sous chaque post de nos auteurs.

Une réponse vous sera adressée (sauf caprices de l'informatique toujours possible) !

vitdits-ecran

Participez sous la rubrique : « Le Plumard » réservée à nos amis et invités.

A bientôt !

4 juillet 2014

DATE LIMITE !

chignondoudou

 

Certains poèmes ont dépassé la date de péremption
Et fleurent bon la naphtaline
Ils furent naguère parfumés au prêt à penser
Ou un peu tirés par les nattes

A vrai dire je m'en fous...
Et faut l'dire vite
C'est juste pour causer

Ça fait vraiment un fameux bail !
Il faut désherber
Farfouiller entre les mots
Chercher des mots qui renversent
Une poésie qui bouscule
Fichée à fond dans nos entrailles
Des images qui arrachent,

Je dois le dire quand même
Et faut l'dire vite
Même si je m'en fous

Rejoins ton vrai chant, ton vrai centre
Sous tes apparences la petite source vraie
Tâche de faire du bon neuf avec du mauvais vieux
Comme le très doué boxeur de mots qu'on dit poète

Bien qu'à vrai dire je m'en fous !
Je vous dis ça juste pour causer !
Le dire vite puisque j'ai osé...

agla

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Commentaires
J
C’est sûr que le texte d’Aglagla reprend de l’allure, du sens et de l’autorité, dans la forme qu’il n’aurait jamais dû ignorer et que Dan a remis en ordre. <br /> <br /> <br /> <br /> Mais pourquoi diable Belle Aglagla veux-tu absolument accoler du « poétique » à cette composition de prosateur. La rubrique « prose » (éventuellement "prose en prose") :-) n’existe donc pas chez ces canailles que tu fréquentes ?
Répondre
J
Nager ??? bien sûr ... dès que je le peux, c’est de mes marottes. :-)<br /> <br /> <br /> <br /> Mais jamais dans des eaux trop troublées, je ne plonge pas dans le premier bouillon venu, fut-il de cultures littéraires. Pour que mes apnées soient récompensées et durables il faut que l’immersion se fasse en un bain « soluble dans l’air, sans rien en lui qui pèse ou qui pose » (et oui, dixit le « Voyant » lui-même : « c’est Verlaine qui a tout compris »).<br /> <br /> <br /> <br /> Sinon en effet ça en parle et la lecture est omniprésente, c'est bien ce que je disais en sortant de la forêt… mais la lecture est aussi omniprésente dans l’Indicateur Bertrand, dans le récit de la prise de Constantinople par les Croisés (1204), dans les Pages Jaunes ou les aperçus de Joseph Pitton de Tournefort. :-)<br /> <br /> <br /> <br /> Au temps ! pour moi…. En pensant « poème & poésie » je n’envisageais pas d’emblée causer de « lecture ».
Répondre
I
dommage que tu sois pas entré, ça parle pourtant de lecture, faut juste un peu plonger, tu sais nager quand même ;-)
Répondre
J
diable... deux fois pour un seul clic ! c'est pas cher, je reviendrai
Répondre
J
J’entre volontiers et je vais sans doute en remettre une couche.<br /> <br /> <br /> <br /> Voilà… Je pense qu’on n’est pas vraiment sur la même fréquence !<br /> <br /> <br /> <br /> Je crois pour ma part qu’il y a une différence majeure entre le poème qu’on ressent nécessaire et celui que l’on doit d’abord lire et relire. Et, absolument, cette invite que tu nous livres est très bien écrite et donc à lire et relire… mais à mon sentiment, qui ne vaut que pour lui-même, il y manque peut-être ce qui rendrait le poème nécessaire. Tout le reste y est ! ce « tout le reste » qui ne serait que littérature comme disait un vague rimailleur alcoolique.<br /> <br /> <br /> <br /> Encore, tu parles de « fils » en rapportant ces mots… mais en matière du « genre » qu’il faut épouser absolument (même en union libre), dans cette aimable invitation, la façon - surpiqures incluses- en est tout du long cousue de blancs : des blancs pour connoter le lexique , blancs dans le frou-frou syntactique, blancs aussi pour le minimum d’ésotérisme qui donne le chic qui fait choc à la tournure… et tout cet entrelacs de fils blancs sur un cordage de même couleur qui va à la ligne après ligne suivant on ne sait trop quel patronage.<br /> <br /> <br /> <br /> « l’ai-je bien descendu ? » … mais oui, mais oui, cher poète, de la première marche à la dernière ligne. <br /> <br /> <br /> <br /> Pourtant personnellement en entrant dans « la forêt qui débourre », lecture après lecture, je ne parviens toujours pas à éprouver « La bonne aventure éparse au vent crispé du matin qui va fleurant la menthe et le thym ».<br /> <br /> <br /> <br /> C’est sûrement de ma faute, j’en conviens… la littérature c’est pas trop mon truc.
Répondre
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